Le carnet et l’évolution de la science
Voici un article intéressant dans le magazine hebdomadaire britannique The Economist (18 sept 2008, p. 99) à propos des carnets de recherche scientifiques et l’évolution de l’édition scientifique.
Voici un article intéressant dans le magazine hebdomadaire britannique The Economist (18 sept 2008, p. 99) à propos des carnets de recherche scientifiques et l’évolution de l’édition scientifique.
Selon le Bulletin SISTech du Cefrio, voici une nouvelle publication d’intérêt :
Québec (Province). Institut de la statistique du Québec (2008). Compendium d’indicateurs de l’activité scientifique et technologique au Québec : les incidences de la science, de la technologie et de l’innovation, Québec, l’Institut, 276 p.
(4 Mb, 277 pages, FR)
Le Devoir ainsi que Radio-Canada relèvent un rapport sur l’accès à l’information au Canada et dans le monde : Fallen Behind: Canada’s Access to Information Act in the World Context par Stanley Tromp pour la part de l’Association canadienne des journalistes.
Paul Cauchon nous propose une réflexion concernant le rôle de carnets journalistiques (entre autres) :
[…] le carnet permet justement au public de mieux montrer le processus de fabrication de l’information. Le public veut mieux savoir comment travaillent les journalistes. Si l’on crée un carnet, c’est pour permettre au journaliste de s’exprimer de façon plus libre, d’aller plus loin que l’information la plus neutre possible.
Le chroniqueur des médias au quotidien Montréalais Le Devoir réagissait au rapport annuel 2007-2008 de l’ombudsman de Radio-Canada, Julie Miville-Dechênes.
Pierre Noreau lance un appel à tous. Dans une lettre publiée dans les pages du quotidien montréalais Le Devoir le 22 août, le président de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) nous met en garde contre «une société qui fait de l’ignorance une vertu» : poursuites bâillon ou SLAPP, limites à la diffusion de l’information gouvernementale… Le chercheur en droit précise :
Derrière tous ces exemples se dessine une certaine vision du monde. On y postule implicitement que les citoyens ne sont pas en mesure de faire eux-mêmes les choix qui les concernent et que leurs besoins seront toujours mieux cernés et mieux servis par les décisions d’une autorité établie et éclairée. L’obscurantisme devient alors, pour ainsi dire, une nécessité de l’action politique et de l’activité économique. Il en va de même des résultats de la recherche, qui seront toujours jugés trop complexes pour le profane et toujours susceptibles d’inquiéter inutilement le citoyen, le patient ou le consommateur. Comme l’écrit Edgar Allan Poe: «L’ignorance est une bénédiction, mais pour que la bénédiction soit complète, l’ignorance doit être si profonde qu’elle ne se soupçonne pas soi-même.»
Voir aussi le texte de Fabien Deglise du 9 septembre 2008 dans Le Devoir au sujet de la pétition : «Le nouvel obscurantisme»
Nos collègues de la revue électronique Archimag nous offre leur couverture du 1er congrès mondial de l’AIFBD (Association Internationale Francophone des Bibliothécaires Documentalistes).
Les délégués de l’AIFBD, l’Association internationale francophone des bibliothécaires et documentalistes, ont débutés leurs travaux à leur premier congrès ce matin au site Grande bibliothèque de Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Voir l’article dans le quotidien montréalais Le Devoir. Bienvenue à toutes et tous !
L’Association canadienne des professeures et des professeurs d’université publie un bulletin d’information à l’attention de ses membres à propos du droit d’auteur (PDF, 3p, fr). L’ACPPU précise ce qui suit :
Le contrat d’édition conclu entre l’auteur et l’éditeur est la pierre angulaire sur laquelle repose la possibilité pour celui-là de profiter des nouvelles technologies de la communication. Un tel contrat étant toujours négociable, il est essentiel que l’auteur le lise attentivement et propose, au besoin, d’en modifier les termes pour que l’éditeur ne s’attribue pas plus de droits que son travail de publication n’en requiert. Ce contrat consiste habituellement en une simple déclaration par laquelle l’universitaire autorise l’éditeur à publier son oeuvre, non en une cession intégrale de son droit d’auteur.
Il recommande aux chercheurs de conserver leurs droits d’auteurs plutôt que les céder aveuglément aux éditeurs académiques. De plus, l’ACPPU propose un lien vers l’addenda aux contrats d’édition académique proposé par l’Association des bibliothèques de recherche du Canada.
Pour d’autres positions, visitez le site FairCopyrightMontreal.org
L’édition de juillet 2008 de First Monday est maintenant disponible (vol. 13 no. 7). Ce périodique traite des questions nouvelles du web selon une perspective sociale. Cet article semble intéressant (nous ne l’avons pas lu par contre) :
Copyright protection and the new stakeholders in online distance education: The Plays the Thing by Bruce L. Mann http://journals.uic.edu//fm/article/view/2095/1997