Vrai ou faux sur le droit d’auteur (séance #2 2021-01-25)
Cette liste de questions vrai/faux sera utilisée dans le cadre de la séance du 18 janvier 2021 du cours COM5003. Je vais copier ces questions dans un framapad et j’ai utilisé une la fonction « diviser en groupe » de Zoom pour créer quatre sous-groupes d’étudiant.e.s qui doivent répondre à 8 questions chaque. Nous discutons des réponses après l’exercice et je vais capturer le framapad pour le partager dans le site Moodle du cours sous l’onglet de la séance.
- Les marques de commerce, le droit d’auteur, les brevets et les design industriels sont des exemples de propriété intellectuelle.
- Quand j’écris un haiku (poème Japonais avec 3 vers de 5, 7 et 5 pieds respectivement), il est automatiquement protégé par le droit d’auteur.
- Le premier titulaire du droit d’auteur est toujours (i.e. sans exceptions) l’artiste qui a créé l’oeuvre.
- La traduction d’un roman récent nécessite l’autorisation du titulaire du droit d’auteur.
- Je ne peux pas renoncer à mon droit moral.
- Si j’ai en emploi régulier, je possède quand même mon droit d’auteur.
- Je peux louer une copie d’un logiciel informatique Microsoft à ma voisine sans me soucier du droit d’auteur.
- Les brevets s’appliquent aux inventions ou aux processus industriels.
- En général, le droit d’auteur a une durée de 50 ans au Canada.
- Au terme (fin) du droit d’auteur, on dit que l’oeuvre fait partie de l’espace public.
- Le droit d’auteur est différent au Québec comparé à celui du Canada.
- Je peux céder mon droit moral.
- Le droit exclusif d’un titulaire du droit d’auteur s’applique à toute partie de l’oeuvre, aussi minime soit-elle.
- Une licence est comme la vente d’un bien.
- Les marques de commercent interdisent à tout le monde de les utiliser comme bon leur semble.
- Diffuser une oeuvre dans internet est en réalité une reproduction de celle-ci.
- Le droit d’auteur comporte deux aspects principaux: les droits patrimoniaux et les droits de production.
- Pour une oeuvre en collaboration, c’est l’auteur qui a travaillé le plus fort qui a tout les droits d’auteur.
- Pour faire de l’argent avec mon droit d’auteur, il me faut absolument un contrat écrit et signé.
- En tant que designer web, je peux prendre n’importe quelle image dans Internet et la modifier sans me soucier du droit d’auteur.
- Si je cède l’entièreté du droit d’exécution en public de mon oeuvre, je ne peux plus monétiser sa présence dans Internet ou à la télévision.
- Ce n’est pas la fin du monde si j’accomplis des actes qui sont réservé au titulaire du droit d’auteur.
- Le droit moral me permet de faire de l’argent avec mes oeuvres.
- Les licences sur les plateformes numériques ou les réseaux sociaux me demandent généralement tous les droits sur les oeuvres que j’y verse.
- Les marques de commerce visent l’identification d’un bien ou d’un service et de l’associer à une compagnie.
- Je peux prendre les paroles d’un poème d’une autrisse vivante et l’inclure dans une chanson qui passera à la radio sans son consentement.
- Je viole le droit d’auteur quand je copie la moitié d’un article du journal Le Devoir dans mon travail universitaire sans le citer.
- Une licence exclusive me permet de monétiser mon oeuvre auprès de plusieurs personnes.
- Lorsque le Canada signe un accord international qui édicte des modifications à la Loi sur le droit d’auteur, cela se répercute instantanément notre législation nationale.
- Le droit de production s’applique juste au théâtre.
- Je ne viole pas le droit d’auteur si personne est au courant de ce que je fais.
- Le droit d’auteur ne s’applique pas dans Internet.
Ce contenu a été mis à jour le 2021-01-25 à 10 h 44 min.