Guide du droit d’auteur canadien (en anglais)
Les bibliothèques de l’Université Concordia offrent un guide à propos du droit d’auteur canadien (en anglais). Le rédacteur-en-chef de CultureLibre.ca, Olivier Charbonneau, a contribué à son écriture.
Les bibliothèques de l’Université Concordia offrent un guide à propos du droit d’auteur canadien (en anglais). Le rédacteur-en-chef de CultureLibre.ca, Olivier Charbonneau, a contribué à son écriture.
Selon un communiqué :
inLibro et la Fondation pour une bibliothèque globale s’associent pour soutenir l’enseignement de la bibliothéconomie et des sciences de l’information.
Montréal, Canada, le 26 octobre 2007 – inLibro et la Fondation pour une bibliothèque globale ont formalisé une association afin d’offrir à la communauté éducationnelle de la bibliothéconomie et des sciences de l’information la possibilité d’introduire gratuitement les systèmes intégrés de gestion de bibliothèque libre (SIGB libre) dans le cursus pratique de leurs étudiants, offrant ainsi de nouvelles opportunités d’apprentissage.
En janvier 2006, inLibro était la première entreprise à offrir ce service de façon aussi généreuse, en permettant à une quarantaine d’étudiants d’avoir chacun leur propre environnement Koha hébergé pour qu’ils puissent perfectionner leur apprentissage pratique des systèmes intégrés de gestion de bibliothèque. « Jusqu’à ce jour, les étudiants en sciences de l’information avaient une expérience très modeste du SIGB. Notre programme éducationnel permet maintenant aux établissements d’ajouter un volet pratique complet à leur enseignement du SIGB, et ce tout à fait gratuitement et sans égard à la quantité requise d’environnements », indique Éric Bégin, président d’inLibro. Jusqu’à maintenant, l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information de l’Université de Montréal ainsi que la « School of Information Studies » de McGill University se sont associés à ce programme.
La Fondation pour une bibliothèque globale fera la promotion de ce service à l’intérieur du programme de l’Observatoire des SIGB libres, dont l’objectif est de fournir une information scientifique sur les SIGB libres. L’utilisation de ce service par le milieu éducationnel permettra de renforcir la position du SIGB libre tout en solidifiant la formation des bibliothécaires. Et puisque le SIGB libre et l’expertise du bibliothécaire sont deux composantes de solutions importantes dans le processus de développement des bibliothèques des pays en voie de développement, ce service aura certainement des retombées positives sur les membres de la Fondation pour une bibliothèque globale. Il existe aujourd’hui des établissements d’enseignement francophones qui offrent la formation de bibliothécaires et de documentalistes en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord.
Les institutions d’enseignement qui désirent profiter du programme éducationnel peuvent s’inscrire directement sur le site d’inLibro.
À propos d’inLibro : inLibro offre le service et le support Koha au Canada. Elle mise sur l’innovation et sur un modèle d’affaires qui lui est propre afin d’offrir aux bibliothèques et aux centres de documentation de toutes tailles une solution d’un SIGB complet qui répond autant à leurs besoins qu’à leur budget. inLibro est basé à Montréal, province du Québec, Canada.
À propos de la Fondation pour une bibliothèque globale : La Fondation pour une bibliothèque globale est une ONG localisée à Montréal qui a été créée par des membres du milieu de la bibliothéconomie et des sciences de l’information provenant de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Sa mission consiste à soutenir les bibliothèques dans les pays en voie de développement, notamment les pays francophones. Les activités privilégiées sont le transfert d’expertise en bibliothéconomie, la favorisation de l’accès libre au contenu éducatif et culturel ainsi que l’insertion des technologies de l’information dans les bibliothèques. Plus d’informations sont disponibles en visitant le site.
À propos de Koha : Koha est le plus ancien des systèmes intégrés de gestion de bibliothèque offert sous licence libre et à code source ouvert. Il est composé des modules Catalogue, Périodiques, Membres, Circulation, OPAC, Acquisition et Paramétrisation.
La Cornell University nous propose deux vidéos concernant le droit d’auteur dans un contexte universitaire (perspective des USA).
Le Learning Technologies Centre de l’University of Manitoba nous invite, ce 24 septembre 2007, à participer à un symposium intitulé : « Copyright/Copyleft: Issues for Education. » Selon l’invitation :
A clear understanding of copyright developments in a digital age is vital for any academic. This one-day online symposium will inform University faculty on the important issues and trends arising from the open access and Creative Commons movement. The symposium will increase institutional awareness of digital copyright and initiate a conversation on trends and publishing models. The symposium will bring together two of Canada’s foremost experts on digital copyright — Michael Geist, Canada Research Chair of Internet and E-commerce Law at the University of Ottawa and Marcus Bornfreund, Creative Commons Canada. The symposium will explore current issues in copyright and potential trends and directions for educators.
La participation est gratuite mais l’inscription est requise.
Voici un billet intéressant dans Terra Incognita, qui résume bien le phénomène de l’accès libre.
L’Association des bibliothèques de recherche du Canada (CARL-ABRC) et SPARC (Scholarly Publishing and Academic Resources Coalition) annoncent la publication d’un « Addenda de l’auteur canadien » de la documentation de SPARC.
Ce nouveau document incorpore les différences canadiennes au droit d’auteur afin d’augmenter la documentation de défense des droits des auteurs académiques, surtout en faveur de l’accès libre à leurs créations. Selon le communiqué,
Selon les ententes traditionnelles de publication, les auteurs doivent souvent concéder des droits exclusifs à l’éditeur. Le nouvel Addenda de l’auteur canadien SPARC permet aux auteurs de conclure une entente plus juste du fait qu’ils conservent certains droits, comme les droits de reproduction, de réutilisation et de présentation publique des articles qu’ils publient à des fins autres que commerciales. Il permettra aux chercheurs canadiens de se conformer aux politiques d’accès public des conseils subventionnaires, comme la Politique sur l’accès aux résultats de la recherche des Instituts de recherche en santé du Canada. L’Addenda est conforme à la loi canadienne sur le droit d’auteur et il s’agit d’une adaptation de la version originale américaine du Author Addendum de SPARC.
« L’ Addenda de l’auteur canadien SPARC permettra aux chercheurs d’avoir une influence et d’obtenir une visibilité maximales pour leurs publications, tout en sachant qu’ils en conservent certains droits importants, » a déclaré Carolynne Presser, présidente du Comité de la communication savante de l’ABRC et directrice des bibliothèques à l’Université du Manitoba.
« L’Addenda est une contribution importante au mouvement international actuel visant à aider les auteurs à rendre leurs articles savants accessibles à tous ceux qui pourraient tirer avantage de leurs découvertes, » a dit la directrice exécutive de SPARC, Heather Joseph. « Le Canada a été un chef de file dans le mouvement visant à élargir l’accès à la recherche et nous avons été heureux de jouer un rôle en collaborant avec l’ABRC à cette initiative importante. »
Une brochure explicative complète l’Addenda. La brochure et l’addenda sont disponibles en français et en anglais sur les sites Web de l’ABRC et de SPARC et ils seront largement diffusés. SPARC, en collaboration avec l’ARL et l’ACRL, a aussi lancé un webcast gratuit pour expliquer les droits d’auteur (Understanding Author Rights). Voir http://www.arl.org/sparc/author pour plus de renseignements.
Voir la page d’information « Addenda de l’auteur canadien » dans le site de l’ABRC pour de plus amples renseignements.
Scholars have a vast range of opportunities to distribute their work, from setting up web pages or blogs, to posting articles to working paper websites or institutional repositories, to including them in peer-reviewed journals or books. In American colleges and universities, access to the internet and World Wide Web is ubiquitous; consequently nearly all intellectual effort results in some form of “publishing”. Yet universities do not treat this function as an important, mission-centric endeavor. The result has been a scholarly publishing industry that many in the university community find to be increasingly out of step with the important values of the academy.
This paper argues that a renewed commitment to publishing in its broadest sense can enable universities to more fully realize the potential global impact of their academic programs, enhance the reputations of their institutions, maintain a strong voice in determining what constitutes important scholarship, and in some cases reduce costs.
Ithaka. 2007. University Publishing in a Digital Age. PDF, 69 p.
Après Wikipedia, l’encyclopédie ouverte, voici Wikiversity, l’université ouverte. On ne peut pas encore avoir de diplôme par contre…
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La « réserve électronique » est un service offert par les bibliothèques universitaires par lequel les professeurs peuvent déposer des documents pour leurs étudiants au long d’une session universitaire. Dans le cadre du déployment de ce service en ligne, plusieurs questions concernant le droit d’auteur doivent être étudiées. Voici quelques ressources de la part de nos collèques aux USA :
Selon le bulletin ProfeTIC de la CRÉPUQ, la Fédération québécoise des professeures et professeurs d’université (FQPPU) organise un colloque dans le cadre du congrès de l’ACFAS qui aura pour thème : « La production et la diffusion du savoir à l’heure des TIC : enjeux pour le travail professoral ».