#Web #Droit Érika Bergeron-Drolet, Olivier Charbonneau et Guillaume Déziel, «Le droit d’auteur», dans Charlaine Bouchard (dir.), Comment la chaîne de bloc va transformer le droit, Montréal, Éditions Yvon Blais, 2020, p. 191-210, Programme CanLII pour les auteurs, 2020 CanLIIDocs 3076, <https://canlii.ca/t/xn9s>, consulté le 2021-03-22
Nous avons discuté de plusieurs précisions lors des derniers cours, voici le sommaire de celles-ci:
Il faut déposer votre TP 3 dans l’espace wiki personnel de Moodle avant 23h59 dimanche le 14 mars.
Je veux voir une bibliographie annotée d’au moins 4 sources, dont au moins 3 académiques (article savant ou chapitre de livre) et/ou une source gouvernementales (un rapport d’au moins 6 pages avec citations, peu importe le pays). La source gouvernementale est optionnelle. Demandez de l’aide du service de référence de la bibliothèque pour savoir ce qu’est une source académique ou gouvernementale.
Pour être clair: une source académique doit absolument avoir une bibliographie qui recense des citations provenant d’autres sources académiques. Demandez à la bibliothèque pour de l’assistance, je ne répondrai pas à vos demande d’aide sur ce point.
Les éléments de la bibliographie annotée doivent être nouveaux, pas tirées des lectures du cours.
Vous pouvez annoter des lectures obligatoires du cours mais celles-ci ne seront pas comptabilisées dans celles que je veux voir.
Si vous avez beaucoup d’articles académiques, choisissez les plus pertinents.
Vous allez avoir la liberté de citer toutes les sources que vous voulez dans le travail final, mais je veux voir les sources intellectuelles de votre travail à cette étape.
Évitez d’annoter des pages webs, même si elles résument bien les thèmes qui vous intéressent.
Suivre les consignes de diffusées par prof. Marc André Roberge pour une bibliographie annotée:
Définition : Une bibliographie annotée consiste en une liste d’ouvrages dont chacune des entrées est suivie d’un paragraphe descriptif et critique. Elle permet de renseigner le lecteur sur l’utilité d’un ouvrage, son contenu et ses particularités de même que sur ses principales qualités et défauts.
Ampleur : Une bibliographie annotée peut porter sur un choix limité d’ouvrages ou encore sur l’ensemble de la littérature sur un sujet. Une annotation ne devrait généralement pas dépasser 150 mots; elle peut aussi être beaucoup plus brève et se limiter à quelques phrases.
Mise en page : Chaque ouvrage fait l’objet d’une notice bibliographique complète respectant les règles du protocole utilisé, avec alignement en sommaire simple (angl. hanging indentation). En d’autres mots, la première ligne est alignée avec la marge et les lignes suivantes sont renfoncées d’une tabulation. L’annotation suit, précédée ou non d’une ligne blanche; elle est généralement en retrait d’une tabulation avec une renfoncement initial facultatif.
Critères d’évaluation : On pourra s’inspirer de ce qui suit pour établir le contenu de l’annotation. Il se peut que seuls certains des éléments proposés ici soient pertinents pour un titre donné :
– brève identification de l’auteur permettant de lui donner une crédibilité;
– importance de l’ouvrage compte tenu de l’état de la recherche;
– identification des grandes hypothèses, le cas échéant;
– description des principaux sujets traités;
– identification des sections ou caractéristiques particulièrement utiles (listes, tableaux, appendices, exemples musicaux, index, etc.);
– type de public auquel est destiné l’ouvrage.
Style télégraphique : Bien qu’une annotation puisse être rédigée comme un texte descriptif traditionnel, c’est-à-dire composée de phrases avec sujet, verbe et complément, on peut utiliser un style télégraphique, particulièrement si le nombre d’annotations est très élevé.
Il est possible d’acquérir un droit d’accès pour la version complète (de 84 minutes, au lieu de celle plus courte, diffusée librement) sur la plateforme de visionnement sur demande (VSD) Viméo: La bataille du libre.
D’ailleurs, une source proche des milieux des logiciels libres m’a souligné qu’en 2019, le collectif Facil (Pour l’appropriation collective des logiciels libres) a organisé un « cinéma du libre » comportant trois documentaires, dont celui de Borrel, ainsi que LoL, une affaire sérieuse et HAK_MTL.
Source:
Aussi digne de mention, le documentaire produit par l’ONF de 2016 de Brett Gaylor, RIP: a remix manifesto, disponible librement sur YouTube:
PS. Ceci est mon 2401e billet… Je me suis donné un défi personnel d’atteindre 2500 billets avant la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur, le 23 avril prochain, qui marquera le 16e anniversaire du lancement de mon humble carnet de recherche… à suivre 😉
#Biblio #Enjeux Félix Trégnier, L’utopie déchue : une contre-histoire d’Internet XVe-XXIe siècle, Fayard, Paris : France, 2019, p. 283-308 (Dans le site Moodle du cours)
Ce petit (117 p.) essai m’est tombé sous la main lors d’une récente visite à ma librairie de quartier. J’y allais pour faire la cueillette d’une commande effectuée par le site LesLibraires.ca et j’ai eu la bonne idée de passer par le rayon des sciences sociales pour faire cette belle découverte.
Vous me connaissez sûrement, je suis fasciné par le monde numérique et j’oublie parfois les écueils éventuels qui puissent découler des transformations induites par la machine virtuelle. De tous les points fors de l’essai de Krief, je vais souligner le caractère intimiste du propos. Votre humble lecteur fut touché de non seulement comprendre l’argument, mais sentir l’urgence de le communiquer. Merci Mr. Krief pour cette harmonie entre votre propos et vos mots (maux).
L’entrée en matière est directe :
L’objet de cet essai est de tenter de proposer une vision globale du monde de l’Internet. (…) L’Internet poursuit, me semble-t-il, l’oeuvre de dépossession des humains d’eux-mêmes et de leur condition humaine, entamée voilà deux siècles par la révolution industrielle. Une des grandes actions de cette dernière aura été la «taylorisation» des sociétés. D’abord celle du travail dans les usines puis celle des vies sociales et enfin celle des esprits.
Le XIXe siècle s’est attaché à détruire les savoirs-faire, le XXe siècle a détruit les savoir-être ensemble et le XXIe siècle s’affaire à la destruction des savoir penser.
Source: Krief (2020) p. 10-11
L’auteur cite ensuite Lewis Mumford pour évoquer des thèmes de « technique centré sur la puissance », « conforme aux besoins de la machine. » (Krief citant Lewis Mumford dans «Orwell et Mumford, la mesure de l’homme», Notes et morceaux choisis, n. 11, Pais, La Lenteur, 2014).
Le premier chapitre de Krief, traitant de la centralité de l’outil, débute avec une citation de Bernard Charbonneau, auteur que je ne connais pas (!) mais qui a écrit en 1973 Le système et le chaos chez Anthropos 1973 (cité à la p. 12). Bref,
l’outil n’est pas neutre, il est ambivalent. C’est Jacques Ellul qui l’énonce et le démontre avec conviction dans les travaux de toute une vie consacrée à la technique, qu’il nomme dès 1954 «l’enjeu du siècle». Ses bons usages sont indissociables des conséquences néfastes qu’il génère.
[Citant Ellul] «Chaque technique qui apparaît apporte avec elle des effets positifs et des effets négatifs, mêlés les uns aux autres. C’est une vue tout à fait simpliste de penser que l’on peut les séparer, éliminer les effets négatifs et retenir les effets positifs. À chaque progrès technique, il y a accroissement d’effets positifs et accroissement d’effets négatifs dont nous ne savons généralement rien.» [Jacques Ellul, Ellul par lui-même, Paris, La Table Ronde, 2008]
Source: Krief (2020) p. 13
L’auteur note que «l’abandon de la critique des machines et du monde technologique qu’elles produisent depuis l’écrasement violent du luddisme a conduit à l’acceptation béate et émerveillée, deux siècles plus tard, de l’Internet et des outils numérique.» (p. 17) Petite pause pour me regarder dans un mirroir…
Le 6e chapitre, «Taylorisme, Hiérarchie et hétéronomie», plonge justement dans les répressions violente des artisans du 19e siècle contre l’industrialisation, la taylorisation et son inauguration de la consommation de masse :
Cette nouvelle étape dans la déshumanisation du travail et de la fabrique du consentement est importante car elle ouvre la voie à une transformation des rapports sociaux.
Les ouvriers sont délestés définitivement de leurs savoir-faire mais autorisés à goûter aux délices soporifiques du comfort moderne standardisé. Ainsi les syndicats vont perdre leurs revendications révolutionnaires et accompagner docilement les industriels. Ils vont poser ensemble les premières pierres d’une soumission volontaire et heureuse de chacun, dont l’Internet et les outils numériques permettent l’accomplissement et l’achèvement à un niveau global.
Source: Krief (2002) p. 47
Qui plus est, «à l’ère de l’Internet, il nous semble tout naturel de déléguer à des machines et à des protocoles conçus par des experts la gestion de notre vie, de notre santé, de nos relations…» (p. 48) Car, «la dépossession des savoir-faire, des savoir-vivre ensemble et des savoir-penser autonomes nous mène, me semble-t-il, à une vie individualisée et hors-sol et sous contrôle permanent, sous dépendance devrais-je dire, des machines connectées au réseau de l’Internet.» (p. 49)
Hélas, reprennant au bon les théories de Fredrich Hayek et Milton Friedman (p. 51), les GAFAM (Google/Alphabet, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) mènent le bal :
La récolte de données numériques innombrables et infiniment variées permet d’ouvrir de nouveaux champs dans la marchandisation de la planète. Google s’en est emparé afin de fabriquer des algorithmes qui recueillent toutes ces données et les traitent dans le but d’optimiser et de personnaliser les services, autrement dit de ferrer l’utilisateur, qui devient prisonnier d’un piège qu’il alimente lui-même.
Source: Krief (2020) p.56
Concernant les déchets issus de l’obsolescence programmée (chapitre 10), l’auteur note, entre autres,
La publicité est évidemment un des moteurs de l’économie marchande et il est intéressant de remarquer qu’elle sert autant à vendre des produits industriels qu’à façonner notre esprit à l’acceptation docile d’une organisation sociale où l’humain a disparu.
Source: Krief (2020) p. 80
Parlant de notre monde malade (chapitre 11), Krief note:
Il n’est plus possible aujourd’hui d’être un paysan vivant de son travail, simplement dans le respect de soi-même et de la terre. La bureaucratie, survitaminée par les possibilités que lui offre l’Internet, ne lui laisse aucune chance, aucun répit. Pis, voilà plus d’un siècle que la zootechnie a sabordé les fondements mêmes de cet art de vivre dans un environnement à sa mesure.
Source: Krief (2020) p. 85
D’ailleurs, cette soumission volontaire et heureuse nous amène à «la femmécran, l’hommécran» (chapitre 12), clin d’oeil à Bernard Charbonneau (encore lui, un oncle?, un cousin?) et son L’Hommauto chez Denoël en 1967 (p. 93). Suite à une longue citation (à la p. 96-97) de William Morris (1834-1896, voir aussi p. 103 où Krief traite de la vision de Morris de l’artisanat et des arts appliqués), l’auteur lance une question d’intérêt réel : «Peut-on réellement envisager que la situation actuelle ressemble au bonheur?»
L’auteur concède, in fine, que le retour à la bougie n’est pas envisageable… mais il faut au moins :
retourner au labeur, retrouver le goût de l’effort et du partage et renoncer à toutes les machines qui ont fait la grandeur de la société industrielle et la décadence de la condition humaine.
Source: Krief (2020) p. 106
Un blogueur retraçant les idées de Krief me semble de la plus pure ironie, ne serait-ce l’intérêt porté pour sa thèse puisque mon blogue nourrit la machine ! Merci M. Krief pour ce moment de lucidité réflexive.
Afin de mieux saisir le contexte des fils RSS, je vous propose le contexte fictif suivant : vous êtes nouvellement embauché(e) comme agent(e) de développement numérique (ou gestionnaire de communautés dans une association d’un secteur artistique (danse, théâtre, musique…), culturel (littérature, édition…) ou créatif (jeux vidéo…) de votre choix. Afin de remplir votre rôle, vous devez rapidement mettre en place un outil professionnel afin d’être à l’affût des nouveautés de ce domaine.C’est pourquoi un collègue (votre humble professeur) vous suggère de moissonner des fils RSS dans un logiciel agrégateur.
Votre collègue vous propose comme point de départ de configurer un compte sur la plateforme Feedly.com (aussi disponible via le Apple Store et Google Play). Ensuite, il vous propose un fichier OPML de certaines sources (un fichier OPML est un format standardisé pour partager des listes de fils RSS entre les adeptes de cette technologie). Enfin, il suggère de dénicher vos propres fils RSS (au moins 5) en suivant vos intérêts.
Afin de savoir si vous avez bien saisi l’exercice, votre collègue (en réalité, Olivier votre professeur) vous demande d’envoyer un message par courriel à son adresse de l’UQO (voir le plan de cours) au plus tard le dimanche 29 janvier 2023 à 23h59 contenant les éléments suivants:
Un court texte d’au moins 50 mots mais de moins de 250 mots relatant votre démarche pour dénicher les 5 fils RSS de votre choix;
Une saisie d’écran de l’arborescence de vos abonnements dans Feedly, en vous assurant de bien montrer tous ceux-ci à l’écran. S’il y en a trop, pas de problème, montrez uniquement les premiers qui remplissent l’écran;
Un fichier OPML de vos abonnements.
Le courriel devrait avoir un ton professionnel mais amical. Il contiendra donc votre texte et deux fichiers en pièce-jointe : une image (saisie d’écran de votre Feedly) et un fichier OPML.
Votre collègue (Olivier) importera tous les fichiers OPML pour créer un Feedly du cours.
Fichiers et compléments d’information
Étape 1: rendez-vous sur Feedly.com et créez un compte.
Étape 2: Téléchargez le fichier OPML sur votre poste de travail. ==> voici le fichier .OPML avec les sources initiales pour votre Feedly.com <== Dès que vous cliquez sur le lien, vous accédez à une page sur le Google Drive du professeur. Vous voyez un aperçu de l’intérieur du fichier. Vous n’avez pas terminé cette étape : assurez-vous de sélectionner l’option « téléchargement » en haut à gauche de l’écran de Google Drive (la flèche vers le bas). Ainsi, vous téléchargez le fichier sur votre poste de travail, prenez bonne note de l’emplacement où vous l’avez placé.
Étape 3: Importer le fichier OPML dans votre compte Feedly (voir la capsule).
Étape 4: Ajoutez vos 5 fils RSS dans votre Feedly. Voici quelques idées, sans ordre particulier, pour trouver vos 5 fils RSS additionnels:
Visitez le site https://fr.hypotheses.org/ (France) ou le site https://openum.ca/sites/ (Québec) qui héberge des blogues de chercheurs en sciences humaines et sociales – trouver une experte qui parle d’un sujet qui vous interpelle ;
Abonnez-vous au fill RSS des tables des matières de périodiques scientifiques sur la plateforme OpenEdition (France) ou Erudit.org (Québec) – astuce : repérez le petit icône du haut-parleur ou l’image RSS sur la page d’une revue savante pour obtenir le lien pour s’abonner ;
Étape 5 : Une fois vos 5 fils RSS personnels ajoutés, développez toutes vos catégories et effectuez une saisie d’écran.
Étape 6 : Exportez le fichier OPML de votre Feedly
Étape 7 : Préparez le message pour votre collègue (votre professeur Olivier) et versez-le par courriel à mon adresse de l’UQO au plus tard le dimanche 29 janvier 2023 à 23h59.
Étape 8 : prévoyez un moment dans votre routine informationnelle hebdomadaire pour consulter les nouveautés dans votre Feedly !
À l’instar de livrel pour livre électronique, je lance le néologisme bdel (ou bédel) pour traduire le terme webcomic.
Une amie a récemment demandé des recommandations de bédel sur sa page dans un réseau social privé et je me suis offert d’en créer un index… Voici la liste, suivant aucun ordre particulier
S’il manque des suggestions, svp les inscrire dans les commentaires. Indiquez svp la phrase suivante dans votre commentaire: « Vive les bédels, je ne suis pas un robot! » (parce que je reçois beaucoup de commentaires bidons).
pour dire simplement, il y a trois axes fondamentaux dans le cours Création web et PI: la technologie (création & plateformes), le droit (surtout le droit d’auteur) et les enjeux (sociaux/culturels/politiques). Voici quelques pistes pour déconstruire ces éléments:
Outils et technologies
Qu’est-ce qu’un site Internet? Un serveur? Un courriel? Un lien?
Les réseaux sociaux
Les médias sociaux : blogues, wikis et les fils rss
Votre téléphone comme machine à droit d’auteur: documents multimodaux: son, image, video
Les moteurs de recherche, les algorithmes de recommendation et de pertinence, SEO
Les chaînes de blocs
Cadres juridiques
Les grands domaines de la PI: au fédéral (brevets, design, marques de commerce, droit d’auteur) et au provincial (secret, image, réputation, droit civil, liberté d’expression, poursuites bâillons). Régimes hybrides: renseignements personnels, accès aux documents
Les piliers de toute propriété intellectuelle: exclusion/autorisation/consentement; exceptions; institutions
L’exclusion et les processus d’autorisation ou de consentement
La différence en posséder un droit et avoir le droit
Les licences des grandes plateformes numériques et votre PI
Les sociétés de gestion collective
L’utilisation équitable et les autres exceptions au droit d’auteur
Institutions: statut de l’artiste, dépôt légal, droit de prêt public, quotas de contenus
La mise en demeure et les recours juridiques. Les petites créances.
Enjeux sociaux, culturels et politiques de l’expression artistique, culturelle, créative… et citoyenne
Les classifications professionnelles et industrielles : les arts vivants et de la scène; les arts visuels et plastiques; les domaines de l’édition et de la publication; la production cinématographique les logiciels et les jeux vidéo
… et puis le web dans tout ça?
Le copyleft, les licences libres et le domaine public
L’appropriation, le remix et la mise à disposition non-commerciale
Quel décorum pour les espaces publics numériques? Les influenceurs, les trolls et autres licornes
La disruption et l’innovation technologique
Pistes pour les travaux pratiques
Voici quelques idées pour les travaux pratiques:
S’abonner à un fil RSS et générer un fichier OPML. L’envoyer au professeur par un site de partage de fichiers(ou une option de framasoft). Le premier travail pratique consistera à découvrir des outils technologiques pour faciliter l’accès à ces billets. Voici l’adresse pour la catégorie où seront diffusés les billets contenant les capsules, nouvelles et autres éléments reliés au cours pendant le semestre: https://www.culturelibre.ca/tag/com5003/
Consigner la proposition pour le travail final dans une page du forum dans Moodle. Les étudiant.e.s seront invités à commenter les travaux des autres par le forum Moodle en échange de points de participation.
Trouver des images libre de droit pour le travail final: Wikimedia Commons & Google Image Search & flickr & caméra personnelle
Configurer un compte Zotero et consigner la bibliographie du travail final. exporter le fichier en format RIS pour le partager avec le prof. Option de diffuser ouvertement sa bibliothèque Zotero.
Créer des supports pour la présentation finale. La diffusion publique finale du travail de session sur culturelibre.ca sera optionnelle (la page peut être protégée par mot de passe).