Indexation collaborative
Nouveau papier auto-archivé dans @Sic (archive ouverte en sciences de l’information, France) :
Pouyllau, S., 2007, Web 2.0 et indexation collaborative au Centre National pour la numérisation de sources visuelles (CN2SV).
Nouveau papier auto-archivé dans @Sic (archive ouverte en sciences de l’information, France) :
Pouyllau, S., 2007, Web 2.0 et indexation collaborative au Centre National pour la numérisation de sources visuelles (CN2SV).
Une collègue nous souligne un site de suggestions de lecture intitulé Pause Lecture. N’est-ce pas merveilleux de voir un recyclage de données au profit d’une autre communauté ou d’un autre usage ?
Collaboration et web 2.0 : Partagez, librement et ouvertement !
Les wikis comme outils
Outils de diffusion web
Et les bibliothèques ?
Bibliothèques :
Web 2.0 et wikis :
À quand les bibliothèques 2.0 ? Une des initiatives de recherche de CultureLibre.ca consistait à explorer comment CanLII, la bibliothèque virtuelle du droit canadien, peut récolter les fruits du Web 2.0 (il s’agit de notes de travail, le texte final est en cours de publication).
Une invitation est lancée pour participer à un colloque interdisciplinaire intitulé : « Cultures libres, innovations en réseau : Le (logiciel) libre comme phénomène technique et social » qui aura lieu les 17 et 18 septembre 2007 à l’ Université du Québec à Montréal. Par ailleurs, l’échéance pour les propositions est fixée au 1er juin 2007.
Cet événement aura lieu dans le cadre de l’édition 2007 de la Semaine québécoise de l’informatique libre.
Selon l’annonce lancée par courriel :
L’expression « logiciel libre » fait référence à la liberté pour tous d’exécuter, de copier, de distribuer, d’étudier, de modifier et d’améliorer le logiciel. Alors qu’en anglais, l’expression Free Software souffre d’une ambiguïté entre le sens « logiciel libre de droit » et « logiciel gratuit », l’expression Open source apparaît en 1998 pour appuyer notamment les avantages techniques et économiques du maintien du libre accès au code source. Par extension, on parle de contenu libre pour des documents dont le contenu est librement consultable et copiable, voire parfois modifiables par tout le monde, comme Wikipedia. Le libre constitue ainsi un phénomène technique et social.
Sur le plan technique, le développement des logiciels libres se distingue des processus de développement plus « traditionnels » par le rôle de la communauté. Les utilisateurs sont conviés à participer au développement. Les principaux succès de ce paradigme sont bien documentés. Quelles leçons tirer pour des contextes de développement plus traditionnels? En particulier, comment cela pourrait-il s’appliquer aux petits projets? Et dans d’autres contextes comparables au libre en termes d’ouverture ?
Sur le plan social, l’histoire du logiciel libre est associée à une volonté explicite de faire du logiciel un bien commun. Certains groupes militent ainsi pour l’utilisation de logiciels libres, à l’exclusion de tout produit commercial. Quelles processus sociaux, culturels et politiques sont à l’oeuvre dans les communautés de logiciel libre? Dans quelle mesure le projet du logiciel libre rencontre-t-il le projet politique et social de certains mouvements sociaux et groupes communautaires? Quels enjeux de politiques publiques sont soulevés par ces nouvelles initiatives? Quelles sont les conditions permettant l’appropriation du logiciel libre chez les usagers « non-techniciens »?
Les propositions peuvent aborder les thèmes suivants, sans y être limitées :
*Génie logiciel et aspects techniques. Pratiques et difficultés de développement du libre dans les petits projets. Intégration de pratiques du libre dans des équipes de développement traditionnelles. Sécurité
dans le développement et l’utilisation du logiciel libre; aspects techniques de développement du logiciel libre pour les groupes associatifs.*Les communautés: études des processus de collaboration, études de cas de certaines communautés, la place des femmes dans les communautés de logiciel libre.
*Usages et appropriations du logiciel libre au sein des collectivités locales; des groupes associatifs et communautaires; de l’administration publique; des entreprises. Diffusion du logiciel libre chez les usagers
« non-technicien(e)s ».*« Extensions » du domaine du libre: Contenu libre, art libre; infrastructures libres, modèles d’affaires plus ouverts, wikipedia, barcamps….
*Logiciel libre et enjeux sociopolitiques : stratégies politiques et institutions fédératives du logiciel libre institutions et stratégies politiques (Free Software Foundation, Open Source Initiative, April, Facil). Politiques publiques et logiciel libre (la loi DADVSI, DRMs, lois sur la propriété intellectuelle).
Pour favoriser l’échange entre les chercheurs et les praticiens lors du colloque, les propositions pourront être soumises sous deux formats : le format « recherche » où les textes appuyant la communication (environ 10 pages) devront être transmis quelques jours avant l’événement et seront publiés sur le site du LabCMO; le format « pratique » qui permettra aux praticiens d’exposer leurs projets, sans obligation de rédiger un texte
long.Les propositions de communication doivent être envoyées avant le 1 juin 2007 à l’adresse suivante colloque2007@cmo.uqam.ca et doivent inclure le titre ainsi qu’un résumé de la présentation (maximum 250 mots), de même que le nom, l’adresse de courriel du ou des auteurs(es) ainsi qu’une courte biographie déscriptive (environ 100 mots). Le texte complet des intervenants du format « recherche » devra être soumis avant le 1er septembre 2007. Les présentations seront de 20 minutes lors du colloque.
Le Comité de la politique de l’information, de l’informatique et des communications (PIIC) de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE) annonce la livraison d’un rapport (en anglais) concernant le contenu généré par les usagers (en, 74p, pdf)
Working Party on the Information Economy, OECD, 2007, Participative Web : User-Created Content.
Professeur Vincent Gautrais, détenteur de la Chaire Université de Montréal en droit de la sécurité et des affaires électroniques, nous invite à une conférence gratuite ce vendredi 20 avril prochain à compter de 13h, à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, salle Jean-Beetz / McCarthy-Tétrault (autrefois appelée B-2215), sous le thème «Droit 2.0: nouveaux développements juridiques face à l’avènement du web 2.0».
Voici le programme :
PANEL 1 –
Président du panel : Vincent GAUTRAIS (Professeur – Faculté de droit – UDM – titulaire de la chaire en droit de la sécurité et des affaires électroniques)
1 – « Définition du web 2.0 » par Michel LEBLANC – Associé fondateur d’Analyweb
2 – « Sécurité 2.0 » par Benoit DUPONT – Professeur agrégé département de criminologie – UDM – titulaire de la Chaire du Canada en sécurité, identité et technologie
3 – « Responsabilité et approche collaborative : qui doit répondre de la wikialité ? » par Nicolas VERMEYS – Avocat – Doctorant – Coordonnateur du CRDP
PANEL 2 –
Président du panel : Marc A. TREMBLAY (Avocat associé – Ogilvy Renault)4 – Responsabilités des blogues – Pierre TRUDEL – Professeur titulaire – Faculté de droit – UDM – Titulaire de la Chaire L. R. Wilson
5 – « Youtube v. Viacom ou droit d’auteur 2.0 » – Marcel NAUD – Avocat – Robic
6 – Publicité en ligne et nouveaux développements – Douglas J. SIMSOVIC, Avocat Heenan Blaikie.
Un cocktail suivra.
L’activité est GRATUITE mais l’inscription est OBLIGATOIRE, via le site www.gautrais.com
Un Collègue nous propose une initiative fascinente, à l’instar d’un projet américain : le site PostezSecret invite les internautes à envoyer des cartes postales anonymes affichant des secrets intimes (en français) !
Ce site offre un paradoxe intéressant : il s’agit d’information complètement embarassante et parfois troublante, mais l’anonymité des participants est assurée par les mécanismes de la carte postale et l’équipe de PostezSecret.
Par ailleurs, l’avis légal est permissif, on pourrait même envisager l’édition d’un recueil des meilleures cartes postales, comme l’a fait le projet américain. Un bel exemple de site Web 2.0.
Notons en passant que l’instigateur de ce projet a également une compagnie d’édition de livres pour enfants personnalisés nommée AlphaKid – une véritable innovation dans le domaine de l’édition !
Demain, le 7 février 2007 sera le premier mercredi du mois, et donc la soirée YULblog, un rassemblement des blogueurs de Montréal au bar La Quincaillerie (sur la rue Rachel, juste à l’ouest du Parc Lafontaine). Notre rédacteur-en-chef, Olivier Charbonneau, y fera sa première visite – enfin ! Dites-lui bonjour s’il a l’air seul… Au plaisir de vous y voir 😉
Nous avons aimé le nom réservé aux panelistes d’une table ronde qui se tiendra à Lille le 9 février 2007 de 14h à 19h : les obsédés textuels ! Voici les participants :
Sébastien Bailly
Eric Delcroix
Jean-Marc Hardy (également Rédaction.be)
Gilles Klein
Xavier de Mazenod (également de Adverbe.com)
Nous vous proposons le site du Grand dictionnaire de l’Office québécois de la langue française, particulièrement pour des termes francophones de tous ces néologismes de l’arène numérique… Virtuellement vôtres 😉
Voici une vidéo web en anglais de profs en Digital Ethnography à la Kansas State University :
Web 2.0 in just under 5 minutes (dans YouTube, bien sûr !) .