Professions | Page 9
Conférence Liberté d'expression Montréal Professeur
Colloque «La recherche bâilllonée?» (4 juin, Montréal)
Olivier Charbonneau 2009-05-04
L’association francophone pour le savoir (ACFAS) annonce les détails de son Colloque du 4 juin 2009 dont le thème est : «La recherche bâilllonée?». L’événement traitera de la responsabilité et la liberté d’expression des chercheurs de 13 h 00 à 17 h 30, le jeudi 4 juin 2009 à l’auditorium du Centre d’archives de Montréal (535, avenue Viger Est ). Le coût d’inscription est de 20 $.
Le 4 juin prochain, l’Acfas tiendra à Montréal un colloque portant sur la responsabilité et la liberté d’expression des chercheurs. Ce colloque entend donner suite à la lettre-pétition intitulée « Savoir et se taire? De la nécessité des chercheurs dans l’espace public », signée par le président de l’Acfas, Pierre Noreau, et par près de 4000 personnes sur notre site Internet. Chercheurs, journalistes, auteurs et scientifiques viendront débattre de cette question primordiale pour la communauté scientifique et pour la société, de la théorie à la pratique.
Le rédacteur-en-chef de CultureLibre.ca, Olivier Charbonneau, y sera.
Anniversaire Bibliothécaire Droit d'auteur Droits des citoyens Revendication
Journée du droit d'auteur : déclaration
Olivier Charbonneau 2009-04-23
Le réseau international de bibliothèques eIFL (Electronic Information for Libraries) annonce la diffusion d’une déclaration concernant le droit des usagers des bibliothèques dans le cadre de la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur (JMLDA) 2008.
Selon le communiqué:
At the Second Global eIFL-IP conference in Istanbul in March 2009, librarians from thirty-nine developing and transition countries decided to highlight the importance of users’ rights for libraries and education to mark the occasion of World Book and Copyright Day on April 23rd, 2009. Sponsored by UNESCO, World Book and Copyright Day seeks to “promote reading, publishing and the protection of intellectual property through copyright”. For libraries, and the people who use libraries, it is the exceptions and limitations to the legal protections granted to rightsholders that provide the basic mechanism for access to copyrighted content.
One of the greatest resources for development is the human resource. Libraries build capacity by providing quality learning support services to educational institutions and by promoting information literacy for lifelong learning. Copyright exceptions and limitations are critical to meeting the library mission to support learning and research, promote free expression and the flow of information in society and to preserve cultural and scientific heritage for future generations. Exceptions and limitations are important to libraries everywhere, but they are of critical importance to developing and transition countries whose capacity to access knowledge is crucial to their social and economic development.
Voir les événements sur le site de la JMLDA au Québec, ou celui-ci organisé par l’ASTED ce soir 19h à la Bibliothèque Le Prévost (7355, avenue Christophe-Colomb, Métro Jean-Talon).
Liberté d'expression Professeur Québec Revendication
Recherche bâillonnée : colloque le 4 juin
Olivier Charbonneau 2009-04-02
L’Association francophone pour le savoir (ACFAS annonce la tenue d’un colloque le 4 juin prochain intitulé : La recherche bâillonnée? Colloque sur la responsabilité et la liberté d’expression des chercheurs .
Ce colloque donne suite à la pétition lancée en septembre dernier, dont nous avons fait état (et signé) dans CultureLibre.ca
Bibliothécaire Critique Google Numérisation
Unir les bibliothécaires (ou qui a peur de Google?)
Olivier Charbonneau 2009-03-18
Guilaine Beaudry signe un billet dans les pages du quotidien montréalais Le Devoir qui critique l’initiative de numérisation de livres du géant d’internet Google. La présidente de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec (CBPQ), groupe dont notre rédacteur en chef est membre, lance un haro sur les activités commerciales sur les collections de bibliothèques :
Les trésors documentaires des collections des bibliothèques constituent une véritable caverne d’Ali Baba dont seul Google peut présentement déclamer le sésame pour en exploiter le capital économique. Il faut bien reconnaître la puissance d’un géant de seulement quelques années qui constitue une collection de livres à dimension titanesque sans payer un sou pour obtenir son fonds de commerce. C’est comme si la fourmi venait de se faire ravir ses réserves par la cigale. Devant telle situation, on peut avoir envie de voir se rallier les bibliothécaires et de lancer: «Bibliothèques du monde entier, unissez-vous!»
Malgré le fait que Google propose un contrat non-exclusif de numérisation, il semblerait que les professionnels de l’information auraient à gagner de proposer leurs propres initiatives, comme le projet Europeana.eu et le Réseau francophone des bibliothèques nationales numériques.
En fait, la seule possession d’un fichier numérique, qu’il soit issu d’une oeuvre dans le domaine public ou encore sous droit d’auteur, semble créer une nouvelle sorte de droit, la licence de diffusion. Il s’agit là de la source de l’inquiétude de Mme Beaudry.
Appel de communication Bibliothécaire Canada Conférence Québec
« Investir le monde numérique » (appel de communication)
Olivier Charbonneau 2009-02-25
L’Association pour l’avancement des sciences et des techniques de la documentation, la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec et quelques autres associations lancent un appel de communication (PDF), dont la date limite est ce lundi 2 mars 2009, pour le Premier Congrès des milieux documentaires québécois qui aura lieu du 11 au 14 novembre 2009 à Montréal. Voici un extrait du communiqué :
Pour la première fois, sept associations se regroupent pour organiser cet événement : il s’agit de l’Association des bibliothécaires du Québec/Quebec Library Association (ABQLA), de l’association Les Bibliothèques publiques du Québec (BPQ), de l’Association pour l’avancement des sciences et des techniques de la documentation (ASTED), de l’Association pour la promotion des services documentaires scolaires (APSDS), de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec (CBPQ), du Réseau BIBLIO du Québec et de la Special Libraries Association, section de l’Est du Canada (SLA).
Autour du thème « Investir le monde numérique », les professionnels de la documentation réfléchiront à la prochaine étape de l’actuelle révolution qui transforme notre relation au savoir et à la documentation. Déjà depuis plusieurs années, nombre de congrès, colloques et publications ont étudié l’impact et les applications possibles du numérique dans le monde des bibliothèques et au-delà. Aussi, maintenant que cette nouvelle dimension a résolument pris pied dans la pratique, il importe de se l’approprier, de réfléchir sur les nouvelles approches et les façons d’adapter celles-ci à des besoins qui évoluent. En d’autres termes, le numérique n’est plus la terra incognita qu’elle était il n’y a pas si longtemps, il est devenu un outil certes omniprésent mais que les professionnels sont en mesure de façonner dans l’intérêt du progrès de leur métier et de l’amélioration des services documentaires.
Lire la suite et accéder aux formulaires à partir du site de l’ASTED.
Bibliothécaire Enfant États-Unis Internet
Nouveaux rôles pour les bibliothécaires
Olivier Charbonneau 2009-02-17
Un article du New York Times nous propose le profil d’une professionnelle de l’information dans une école de Brooklyn :
Some of these new librarians teach children how to develop PowerPoint presentations or create online videos. Others get students to use social networking sites to debate topics from history or comment on classmates’ creative writing. Yet as school librarians increasingly teach students crucial skills needed not only in school, but also on the job and in daily life, they are often the first casualties of school budget crunches.
ABRC CARL Bibliothécaire Universités
Comment les bibliothèques universitaires achètent-elles des livres?
Olivier Charbonneau 2009-02-05
Un lecteur nous a fait parvenir une question concernant le processus d’acquisition des livres en bibliothèque universitaire au Canada. Voici notre réponse. Avant tout, nous divisons sa question en deux pôles: le développement des collections puis l’allocation des budgets.
En général, le service de bibliothèque de chaque université propose des politiques de développement de collections. Il s’agit d’une indication du niveau de détail à atteindre pour tous les sujets couverts par l’institution. Donc, les bibliothécaires sont appelés à employer des guides, comme Guide for Written Collection Policy Statements de la ALA, et indiquer les « niveau de détail » à atteindre pour chaque « sujet ». Généralement, cela implique prendre une séries d’indices de classification de la Library of Congress (une artie des codes sur le côté des livres, qui représente leur sujet) et de ire si la bibliothèque détient une collection avancée, moyenne, de base etc. Ensuite, nous utilisons ce guide pour acheter les livres, un à un.
Concernant la ventilation du budget selon les disciplines, chaque institution a sa propre méthodologie, mais en général, cela implique une formule mathématique relativement fixe, où le nombre d’étudiants des divers cycles, le nombres de profs, le nombre de crédits, le nombre de prêts des livres déjà acquis et d’autres facteurs sont indiqués afin d’obtenir une allocation budgétaire par département universitaire. Ensuite, un bibliothécaire est responsable d’un ou plusieurs départements universitaires, et dépensent ces fonds selon la politique de développement de collection.
Il y a une tendance lourde qui modifie ces mécanismes, celui des collections numériques. De plus en plus, les éditeurs ou les revendeurs de contenu proposent des offres groupées (bundle) – plusieurs titres pour un prix à rabais. il est parfois (souvent) difficile d’imputer ces offres groupées à un département universitaire précis, car elles sont
multi-disciplinaires. Cela cause des changements dans la structure de la politique de développement de collection mais aussi de l’allocation
budgétaire sur la base de sujets associés aux départements universitaires.
Pour plus de détails, il serait nécessaire de contacter chaque institution pour obtenir des détails sur les méthodes locales. Par ailleurs, monsieur Onil Dupuis de la CRÉPUQ (association des universités du Québec) qui travaille étroitement avec le Sous-comité des bibliothèques. Par ailleurs, l’Association des bibliothèques de recherche du Canada, dont sont membre les grandes universités Canadiennes et quelques autres peut fournir des détails.
Droit d'auteur Internet Journaliste
Jean-Claude Guillebaud sur le journalisme
Olivier Charbonneau 2008-11-20
États-Unis Livre et édition Professeur Rapport et étude Universités
Les modèles de l’accès libre
Olivier Charbonneau 2008-11-10
L’Association of Research Libraries (ARL) annonce la publication d’un rapport sous la plume de Nancy L. Maron et K. Kirby Smith intitulé : Current Models of Digital Scholarly Communication (en, PDF, 49p, 3Mb).
In the spring of 2008, ARL engaged Ithaka’s Strategic Services Group to conduct an investigation into the range of online resources valued by scholars, paying special attention to those projects that are pushing beyond the boundaries of traditional formats and are considered innovative by the faculty who use them. The networked digital environment has enabled the creation of many new kinds of works, and many of these resources have become essential tools for scholars conducting research, building scholarly networks, and disseminating their ideas and work, but the decentralized distribution of these new-model works has made it difficult to fully appreciate their scope and number.
Ithaka’s findings are based on a collection of resources identified by a volunteer field team of over 300 librarians at 46 academic institutions in the US and Canada. Field librarians talked with faculty members on their campuses about the digital scholarly resources they find most useful and reported the works they identified. The authors evaluated each resource gathered by the field team and conducted interviews of project leaders of 11 representative resources. Ultimately, 206 unique digital resources spanning eight formats were identified that met the study’s criteria.
Également, les données de l’étude sont disponibles via une base de donnée dans le site de l’ARL.
Accès libre Australie et Océanie Professeur Universités
Déclaration de Brisbane sur l’accès libre
Olivier Charbonneau 2008-10-10
Une autre déclaration importante, donnant suite à la série Budapest/Bethesda/Berlin: Déclaration de Brisbane sur l’accès libre.