Coalition pour sauver Internet
Une nouvelle coalition américaine milite en faveur d’un Internet libre et ouvert.
Ce site propose beaucoup de vidéos amateurs, certains sont vraiment hilarants…
Une nouvelle coalition américaine milite en faveur d’un Internet libre et ouvert.
Ce site propose beaucoup de vidéos amateurs, certains sont vraiment hilarants…
La technologie n’est pas une finalité, il s’agit d’un outil. Voici une liste partielle de ressources, principalement des USA, pour ceux intéressés par la question de la plannification technologique en bibliothèque :
L’institut national canadien pour les aveugles (INCA – CNIB) propose un guide pour éditer de la documentation en tenant compte des besoins des malvoaynts. Malheureusement, le guide n’est disponible qu’en anglais.
Le Committee on Free Access to Information and Freedom of Expression (FAIFE ou Comité de l’accès libre à l’information et de la liberté d’expression) de l’IFLA (association internationale de bibliothèques) lance une invitation à s’inscrire à sa liste de discussion.
La Ligue des bibliothèques Européennes de recherche (LIBER), en collaboration avec l’European Register of Microform and Digital Masters (EROMM), ont annoncé un partenariat avec l’Online Computer Library Center (OCLC) afin de consolider leurs accessions de thèses et mémoires, selon le site eGov Monitor.
Un intriguant article de la revie web ArsTechnica (16 juillet 2006), examine la situation particulière de YouTube, un site de partage de vidéos. Malgré que plusieurs usagers l’utilisent pour afficher des vidéos personnels, certains téléchargent des documents encore protégés par le droit d’auteur, comme des émissions de télévision. Ironiquement, You Tube n’est pas responsable selon la loi.
En effet, ce service d’hébergement vidéo est considéré comme un service d’accès à Internet (Internet Service Provider) selon le Digital Millenium Copyright Act (DMCA), qui exhonère les services de la responsabilité des agissements de leurs usagers. Ironiquement, le DMCA est la même loi qui devait éliminer ce genre d’usage !
La Cour suprême du Canada vient de livrer deux jugements ayant trait aux marques de commerces. En premier lieu, la maison Veuve Clicquot Ponsardin Champagne s’opposait au nom donné à un magasin, les Boutiques Cliquot Ltée.
Veuve Clicquot Ponsardin c. Boutiques Cliquot Ltée, 2006 CSC 23
Ensuite, un restaurateur canadien a obtenu une marque de commerce déposée pour sa chaîne de restaurants nommée… Barbie’s. D’aucuns verront une certaine confusion avec la poupée plantureuse éponyme du fabriquant américain Mattel.
JSTOR, l’archive historique de périodiques académiques, a annoncé que toute institution de recherche à but-non-lucratif située en Afrique pourra accèder aux contenus gratuitement. L’initiative, nommée Open Africa, débutera le 1er juillet 2006 et sera testée pour une période de 3 ans.
Nos amis de l’Electronic Frontier Foundation, un groupe américain voué à la défense des intérêts des individus dans le monde numérique, nous proposent un court vidéo bien comique. Il appert que des super-vilains, The Corruptibles, montent des complots afin d’attaquer le foissonnement créatif dont témoignent certains sites citoyens dans internet. Peut-être que notre Captain Copyright national pourra y mettre du sien ?