Publication | Page 57

Bibliographie Conférence Droit d'auteur Montréal

Bonjour ARLIS / NA MOQ !

Dans le cadre de la conférence annuelle de ARLIS / NA MOQ, le rédacteur-en-chef de culturelibre.ca, Olivier Charbonneau, va prononcer une conférence sur le droit d’auteur. Pour ceux qui désirent plus de lectures, nous vous suggérons de consulter notre catégorie bibliographie et aussi ces quelques livres :

Canadian Copyright : a citizen’s guide
Auteurs : Prof. Laura Murray, professeure au Department of English à la Queen’s University (Kingston, Ontario), et de Samuel Trosow, professeur à la University of Western Ontario
Éditeur : Between the lines, Toronto

Canadian Copyright : a citizen’s guide

Bibliothèques numériques : le défi du droit d’auteur
Auteurs : Lionel Maurel. Préface d’Yves Alix
Éditeur : Presses de l’enssib
ISBN : 978-2-910227-69-2
Pages : 358, Prix : 35 € + frais de port

Bibliothèques numériques : le défi du droit d’auteur
Ce dernier livre porte sur le contexte français et québécois. Nous vous reviendrons avec un sommaire.

Accès libre Bibliographie Droit d'auteur États-Unis Web 2.0

Nouveau livre de Lawrence Lessig

Lawrence Lessig nous propose un nouveau livre : Remix : making art and commerce thrive in the hybrid economy, Penguin Press. Lire aussi deux texte de l’instigateur du mouvement Creative Commons : un commentaire de l’auteur dans le Wall Street Journal ainsi qu’une lettre ouverte dans le New York Times sur l’utilisation de contenu culturel lors de la campagne présidentielle et le droit d’auteur comme outil de censure.

Brevets Droit d'auteur Rapport et étude Réforme Santé et médecine

Une nouvelle ère qui débute ?

« L’Ancienne époque de la propriété intellectuelle – l’utilisation disproportionnée des brevets, du droit d’auteur et des marques – touche à sa fin. »
Richard Gold, Président

Ainsi se résume les travaux du Groupe international d’experts en biotechnologie, innovation et propriété intellectuelle qui ont oeuvré de 2003 à 2008 dans les domaines du droit, de la gestion, de l’économie, de la bioéthique, de la philosophie, des sciences politiques et de la santé. Ce groupe de recherche international et transdisciplinaire, mis en place par le Centre des politiques en propriété intellectuelle de l’Université McGill, a étudié l’encadrement des biotechnologies par le droit de la propriété intellectuelle.

Selon le site,

Après sept ans de recherche, le Groupe international d’experts en biotechnologies, innovation et propriété intellectuelle, dirigé par Dr. Richard Gold de l’Université McGill, conclut que l’Ancienne époque de la propriété intellectuelle s’éteint et doit rapidement être remplacée. Afin d’assurer le développement, la production et la distribution de médicaments, d’aliments et de processus industriels (tel que la production de sources d’énergie propres), la Groupe reconnaît la nécessité de passer de l’Ancienne à la Nouvelle époque (c’est à dire l’octroi d’un niveau de droits raisonnable et leur meilleure utilisation). L’équipe, composée d’experts internationaux en droit, gestion, économie, éthique, philosophie des sciences, science politique, médecine et biologie, a convaincu le gouvernement canadien de l’importance de ses travaux, non seulement pour le Canada mais pour le monde entier. Grâce au soutien financier du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) et l’Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), l’équipe a pu développer les outils nécessaires pour comprendre comment la propriété intellectuelle affecte l’innovation biotechnologique. Armés de ces nouvelles connaissances, les politiques sont à présent en mesure d’avancer au delà de la grande époque de la propriété intellectuelle.

Par ailleurs, le site contient des informations concernant l’équipe, le rapport en format PDF, des études de cas et des données, en plus des ateliers et diverses publiations. Également, il est possible d’écouter l’enregistrement d’une rencontre sur le sujet du 9 Septembre 2008.

Canada Critique Journaliste Rapport et étude Web 2.0

Carnets et journalistes

Paul Cauchon nous propose une réflexion concernant le rôle de carnets journalistiques (entre autres) :

[…] le carnet permet justement au public de mieux montrer le processus de fabrication de l’information. Le public veut mieux savoir comment travaillent les journalistes. Si l’on crée un carnet, c’est pour permettre au journaliste de s’exprimer de façon plus libre, d’aller plus loin que l’information la plus neutre possible.

Le chroniqueur des médias au quotidien Montréalais Le Devoir réagissait au rapport annuel 2007-2008 de l’ombudsman de Radio-Canada, Julie Miville-Dechênes.