Montréal, reine des pirates
L’article indique que les studios auraient inséré des images apparaissant pour quelques fractions de secondes au beau milieu des films, et donc invisibles à l’oeil humain mais pas pour les caméras vidéos utilisées illégalement. Chaque région du continent aurait reçu des images différentes, permettant de retracer l’origine des copies illégales. Ensuite, ils auraient pu retracer l’origine exact des copies piratées, et la majorité seraient d’un cinéma en vogue du centre-ville de Montréal.
On dit souvent que la culture est en ébulition à Montréal, mais c’est chaud dans ce cas-ci…
Ce contenu a été mis à jour le 2007-01-26 à 17 h 20 min.