Dossier sur les métadonnées
Le site BiblioDoc, sous l’égide de l’Organisation Internationale de la Francophonie, nous offre un dossier sur les métadonnées.
Le site BiblioDoc, sous l’égide de l’Organisation Internationale de la Francophonie, nous offre un dossier sur les métadonnées.
Un nouveau service est annoncé pour les institutions documentaires : l’accès perpétuel à des monographies canadiennes. L’accès perpétuel est un phénomène intéressant dans le monde de l’information et garantie que l’on paye qu’une seule fois pour avoir accès à du contenu numérique.
Un courriel récent d’Annick Bernard sur la liste BIBLIODOC présente 3 archives ouvertes pour des périodiques francophones. Voici :
Bien sûr, il ne faut pas oublier les Classiques des sciences sociales, l’équivalent francophone du projet Gutenberg pour des livrels (livres électronioques) en français.
La conférence des bibliothéquaires nationaux européens vient de produire une déclaration concernant la numérisation de contenu.
Par ailleurs, il existe un document détaillant le projet de bibliothèque numérique européenneainsi que son plan d’action.
Voici une distinction entre un commerce et une bibliothèque au sens de la Loi sur le droit d’auteur au Canada.
Avant tout, je dois vous informer que je suis bibliothécaires pas avocat. Tout ce que je dis relève d’opinions personnelles et ne créent pas un lien de conseil (désolé de cet avertissement, je dois faire attention de ne pas porter préjudice aux membres du barreau du Québec…
Or donc, le début. Le prêt effectué par la bibliothèque tombe dans le domaine de l’utilisation équitable. En fait, l’acheteur d’une copie d’un livre ou d’un CD « paye » les droit à l’auteur lors de la première vente. On parle d’épuisement du droit en Europe Continentale ou encore de la doctrine de la première vente pour les pays anglo-saxons. Le livre/CD devient donc un objet normal, que l’on peut prêter, revendre voire même détruire. C’est pour cela que magasins de disques usagers et les bibliothèques existent en toute quiétude – ou presque !
Pour être considéré comme « bibliothèque » au sens de la Loi sur le droit d’auteur, l’institution doit être sans but lucratif. Ensuite, les bibliothèques bénéficient d’exceptions à la LDA – je vous invite à lire les art. 30.1, 03.2 et 30.3 à ce sujet. Ces exceptions ne peuvent être invoquées par les propriétaires des magasins de CD.
Avant de quitter le sujet du droit d’auteur, il existe au Canada une Commission du droit de prêt public, sous l’égide du Conseil des arts du Canada (je crois) qui se charge de distribuer des redevances aux auteurs sur la base de la présence de leurs livres sur les rayons des bibliothèques canadiennes (calculs statistiques sur échantillons). Encore là, l’auteur doit s’inscrire et les bibliothèques n’ont rien à faire (pas de formulaires ou autres déclarations (je crois), cet organe gouvernemental se charge de tout.
Un article du StarPhoenix indique que les taxes prévues pour le réseau municipal de bibliothèques publiques iront à la construction d’un morceau d’autoroute. Cette nouvelle route servira au centre commercial qui abritera bientôt un Wal-Mart…
Le site indien OpenJ-Gate offre une interface de recherche simplifiée pour plus de 3000 journaux en accès libre. Malheureusement, le contenu semble en anglais uniquement…
Le groupe iMark, sous l’égide de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture et plusieurs partenaires, propose une série de modules de formation gratuites dans Internet pour gestionnaires de l’information. Il suffit de créer un compte d’utilisateur, également gratiutement.
Le site de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) dédié aux bibliothèques et centres de documentation propose une série de dossiers. Les premiers rendus, à propos du logiciel libre et du droit d’auteur, sont bien renseignés. Les prochains exploreront les métadonnées ainsi que la coopération internationale.
La « présidente » de l’University of Michigan, Mary Sue Coleman, a causé tout un émoi lors de son discours au congrès annuel de la section Professional/Scholarly Publishing Division de l’Association of American Publishers. Cette université est une des cinq qui participe activement au projet Google Print.
Le discours, mis en lumière par le site InfoToday, s’intitule “Google, the Khmer Rouge, and the Public Good” et tente d’opposer le projet Google Print, le rôle de la University of Michigan, le droit d’auteur et les besoins de préservation et d’accès à la connaissance humaine. Êtes-vous surpris d’apprendre que ce discours a causé une grande contreverse lors de la période de questions ?