Droit d’auteur | Page 98
Faire affaire avec Google
Un article de la publication spécialisée de l’industrie académique (sic), The Chronicle of Higher Education, présente l’entente survenue entre l’University of California et Google.
Fait intéressant à noter, le contrat entre l’University of California et Google fut obtenu par le The Chronicle of Higher Education grâce aux lois de l’accès à l’information et est disponible dans Internet (pdf, en, 13p).
Libération des presses de l’Uni. Toronto
Selon une note postée sur le site Internet de l’University of Toronto Press, une dizaines de périodiques seront diffusés en accès libre. Le site indique que
In 2007 the Canadian Journal on Aging, Canadian Public Policy, the Canadian Journal of Criminology and Criminal Justice, the Canadian Modern Language Review, Seminar: a journal of Germanic Studies, Genocide Studies and Prevention, the Canadian Historical Review, Cartographica, the Journal of Scholarly Publishing, and the University of Toronto Quarterly will provide online access to current and back volumes. The complete back file of Cartographica, from volume 1:1 to volume 41, will also be available.
Une excellente initiative qui saura sans aucun doute augmenter le contenu académique canadien dans Internet.
P2Pnet en cour !
P2Pnet, un site extrêmement populaires de nouvelles technologiques, serait dans un imbroglio de diffamation selon la BBC. Ce cas est intéressant puisque p2pnet est un effort communautaire, où chaque nouvelle est proposée et éditée par les usagers du système.
Encore plus de journaux en accès libre
Scientific Journals International, de Parker & Parker, offre un accès à des journaux en accès libre.
Rapport de l’UNESCO sur le traité de la radiodiffusion de l’OMPI
L’UNESCO offre un document de réflexion (pdf, en, 48 p) concernant l’ébauche de traité sur la radiodiffusion de l’OMPI (pdf, fr, 71 p).
Nouveau livre sur l’accès libre
Toronto, la créative
Selon un article du journal The Toronto Star, la plus grosse agglomération au Canada s’est dotée d’un plan stratégique du point de vue de la créativité : « Imagine a Toronto … Strategies for a Creative City« . Voir aussi cette note.
Ce rapport s’insère dans la philosophie selon laquelle les « classes créatives », ces professionnels de la culture qui donne une saveur unique à une collectivité en favorisent le développement.
Engins de recherche, protection du contenu et créativité
Le professeur Urs Gasser, titulaire d’un fellowship et membre du Centre Berkman de l’Université Harvard, nous propose une série d’aticles concernant les médias numériques. Voici les références :
- « Regulating Search Engines: Taking Stock and Looking Ahead » by Urs Gasser, YoLT
- « Legal Frameworks and Technological Protection of Digital Content: Moving Forward Towards a Best Practice Model » by Urs Gasser
- « From Shakespeare to DJ Danger Mouse: A Quick Look at Copyright and User Creativity in the Digital Age » by Urs Gasser
Crier au loup
Selon les recherche de Dr Michael Geist, publiés par le quotidien The Toronto Star ainsi que par un journal des parlementaires à Ottawa, le Hill Times (voir aussi son carnet), le ministère du Patrimoine Canadien finance les activités de lobby de l’Alliance pour les droits des créateurs (Creators’ Rights Alliance, CRA). Selon Dr Geist dans le Star,
The Canadian Heritage-CRA agreement, which could run until 2008 at a total cost of nearly $400,000, requires the CRA to provide the Ministry with its views on copyright in the form of comments, analysis or research papers (other deliverables include a policy conference, website communications, and a regular newsletter). In other words, in return for $125,000 annually, the contract appears to be designed primarily to enable the CRA to lobby the government on copyright reform.
Le site de la Alliance pour les droits des créateurs (CRA/ADC) nous informe qu’ils sont
une coalition d’associations nationales d’artistes et de sociétés de gestion du droit d’auteur vouée à la défense, à la promotion et à la protection des intérêts des créateurs canadiens en matière de propriété intellectuelle.
À cette liste de membres, il ne faut pas oublier d’inclure les « ayant-droits » ou toutes les entreprises de diffusion culturelle et leurs charmants avocats.